Du savoir à la connaissance.

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Le savoir s’acquiert par un apprentissage cognitif et mémoriel. La connaissance, elle, s’acquiert par la pratique et l’expérience.

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Dans la pratique, les savoirs mémorisés deviennent connaissances en s’inscrivant progressivement dans les gestes et les comportements physiques et psychiques. Toute expérience de vie est connaissance. Varela parlait d’énaction : la connaissance c’est l’« incarnation» de l’expérience.

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La répétition des gestes et des comportements les améliore et les rend plus précis. Plus de répétition, plus d’entrainement, et ils deviennent plus fluides, se chargent de sens et apportent de plus en plus de confiance en soi. Alors s’élève le niveau de conscience perceptive, se développe la sensibilité empathique et la capacité à suivre ses intuitions de façon juste.

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Ainsi en est-il de la musique, de la danse, de la peinture… et aussi de la Symbionie® : l’intuition est une ouverture de conscience vers l’action, ouverture pour laquelle un apprentissage est nécessaire. Ensuite, la rationalisation la rend positivement et efficacement concrète.

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Le mot français « art » dérive du latin ars, artis qui signifie « habileté, métier, connaissance, sensibilité, intuition et éthique ». Ethique, car la pratique d’un art implique avant tout le respect de règles et de valeurs, le respect de l’autre et le respect de soi même, ce qui conduit inévitablement à prendre conscience des fondamentaux de la vie et à les vivre en conscience.

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Le CESP, Centre Européen pour la pratique de Santé en Psychonomie, propose un cursus découverte.

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Ce cursus, théorique et pratique, est ouvert à tous ceux qui souhaitent apprendre et comprendre la Psychonomie en tant qu’approche du fonctionnement de l’être vivant humain (ou même animal). Comprendre cette approche, c’est aussi la vivre dans la pratique de santé appelée Symbionie®.

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Le cursus découverte est une sorte de « conduite accompagnée » qui permet de prendre conscience de nos possibilités à pouvoir détecter un éventuel dysfonctionnement affectant la santé d’une autre personne et, le cas échéant, à pouvoir restaurer de façon optimale la fonction concernée.